Piqûre

Réflexions philosophiques et bioéthiques sur le contexte actuel.

Ceci est le journal d'une potentielle future délinquante. Il est condescendant à l'égard des décisionnaires actuels, et rempli d'amour pour tous les peuples soumis à ces tarés. Les temps sont difficiles, mais le soleil brille toujours quelque part. Les éventuelles mises à jour seront ajoutées au fil de l'eau en bas de l'article.

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme – Rabelais

Le mouton a craint le loup toute sa vie. Mais c’est le berger qui l’a mangé – Anonyme

La science est injuste

Parce qu’elle est complexe. Il est quasi-impossible de ne s’en tenir qu’à une seule phrase. Par exemple, même une affirmation aussi bête que « la matière est un amas d’atomes » n’est pas tout à fait exacte. Tout (bon) scientifique sait qu’il doit se méfier des phrases toutes faites, sorties de leur contexte et répétées jusqu’à ce qu’elles semblent vraies.

Science rime avec nuance. Et sa complexité rend crucial le fait de pouvoir débattre librement des faits scientifiques. Or depuis plus d’un an, beaucoup de scientifiques sont sidérés par les propos unilatéraux rapportés par les médias, et de l’interdiction de débattre sereinement. Tout propos autre que « la vaccination est la seule solution » peut vous faire bannir de l’ordre des médecins. Comme si 7 milliards d’êtres humains différents pouvaient tous recevoir la même réponse médicale à un problème qui n’est même plus clairement identifié.

Cet article vise à donner un point de vue sur la situation actuelle, telle que je la perçois aujourd’hui. Il ne cherche pas à convaincre ni à rétablir une vérité. Il fait simplement état de mon ressenti, comme un journal intime. Il apporte hélas plus de questions que de réponses. Mais c’est justement le fait que ces questions existent sans réponses satisfaisantes qui devrait faire stopper toute prise de risque supérieure au bénéfice. Surtout lorsque l’on commence à parler des enfants. Primum non nocere qu’ils disaient (avant).

Je ne prétends pas détenir la vérité, et si vous avez des réponses à certaines des questions que je me pose je serais heureuse de les lire et d’enrichir mes connaissances à ce sujet. J’espère que mon modeste bagage scientifique propose tout de même une base de questionnement sensée par rapport à la réalité. Si je n’avais pas étudié la biologie moléculaire pendant quatre ans, je n’aurais jamais été en mesure de faire émerger ces questions qui me semblent importantes, puisque l’on touche à l’architecte de la vie : le matériel génétique. Là est l’injustice : t’as pas appris à lire des études ? Tu n’auras qu’une info partielle transmise par ton gouvernement, et tant pis pour toi si les conséquences dans ta vie virent au drame.

Mon corps mon choix n’est pas unilatéral. Même si je suis inquiète pour ceux que j’aime, je n’ai aucun droit d’ingérence sur leurs choix. Je souhaite simplement qu’ils disposent de tous les éléments existants à ce jour pour réaliser un choix éclairé. Justement parce que je les aime, je ne les moralise pas sur leur décision, et je ne les juge pas. La liberté avant tout.

Très clairement, les journaux, JT (même ceux du service public payés avec nos impôts) et politiques n’offrent qu’une information partielle sur les injections. Et certains l’apprennent aux dépens de leur vie ou de celle d’un de leur proche. Des jeunes en parfaite santé, qui risquaient au pire une bonne grippe avec le virus sont morts des suites de l’injection. D’autres sont devenus très handicapés dans leur quotidien, parce que des organes vitaux tels que le coeur ou le cerveau ont été touchés.

Des parents endeuillés ont formé l’association Verity France pour rappeler que même si c’est rare, quand c’est votre enfant qui est parti les stats importent peu. Surtout lorsqu’à cet âge les risques de départ avec le virus sont inférieurs aux risques encourus avec le « remède ». Les jeunes ne se sont pas fait injecter pour protéger leur santé, mais parce qu’on leur a dit que cela protègerait leurs aînés et la société. Et parce que la loi leur a imposé cela pour maintenir leur vie sociale. Ils ont fait ça par amour et ils ont reçu la souffrance. Sans comorbidité, je pense qu’il n’y a absolument aucun avantage pour sa santé à se faire injecter. Si vous avez trouvé des études indiquant le contraire pour les moins de 60 ans je suis preneuse car mes recherches sur pubmed n’ont rien donné à ce sujet.

Fort heureusement tous les vaccinés n’auront pas d’effets secondaires graves. Mon propos est le suivant : en l’état actuel des choses, puisqu’on ne sait pas les effets à long terme, le risque pour les personnes bonne santé à se faire injecter est supérieur au bénéfice. Même si c’est rare, c’est plus dangereux. On ne peut pas se dévacciner. Le chantage de protéger les boomers au risque de détériorer son coeur à vie pour un faux-semblant de liberté est ignoble. Les jeunes ont des décennies à vivre devant eux, quelle est l’urgence ou la nécessité de prendre le risque d’altérer leurs organes vitaux puisque les études les concernant ne sont pas terminées ? Pourquoi vouloir atteindre le 0 COVID impérativement ? On n’a jamais su atteindre le 0 grippe ou 0 gastro, et on voudrait prétendre éradiquer une maladie et tous ses variants que l’on découvre récemment seulement ? C’est un objectif impossible et prétentieux, aux conséquences désastreuses : beaucoup deviennent fous de toute cette pression sanitaire.

Un bref résumé des évènements

Fin 2019. On entend vaguement parler d’un virus au loin. Pas de panique c’est sûrement passager.

Printemps 2020. Tous à l’abri sinon nos compatriotes fragiles vont mourir. Et malheureusement, beaucoup meurent. La peur s’installe. On vous répète tous les jours que votre désobéissance ou questionnement peut tuer des gens, c’est le début de l’hypnose. On vous prive de liberté juste le temps de trouver un vaccin, soyez solidaires. Le masque ne sert à rien. Obéissez sinon vous êtes responsables de la mort d’autrui (oui mon petit, tu vas tuer mamie en lui faisant un câlin, maintenant débrouille-toi avec ça pour te construire de façon équilibrée). Les morts sont dénombrés quotidiennement.

Eté 2020. Si vous ne portez pas le masque H24 vous êtes un terroriste.

Automne 2020. Trump est vraiment trop débile, il croit vraiment que d’ici 2 mois un vaccin sera prêt ? Il a pas compris que la science prend du temps, et qu’il en faut un minimum de recul pour s’assurer de la sécurité de son peuple ?

Hiver 2020-2021 : le vaccin est prêt ! Il est sûr et efficace ! On vaccine les personnes vulnérables et on retrouve tous la liberté !

Au cours de l’année 2020, des milliers de lits d’hôpitaux sont fermés. Surprenant choix pour une période de pandémie.

Eté 2021 : si vous refusez l’injection OU si vous refusez de présenter vos données médicales même si vous êtes vacciné vous n’avez plus de vie sociale. On ne compte plus les morts lié au virus parce qu’il n’y en a presque plus alors on vous fait culpabiliser avec des taux d’incidence et de positivité pour justifier l’urgence de ces mesures. Sans vous expliquer que naturellement un virus circule par vagues, c’est cyclique et normal, et que ça ne veut pas dire qu’il rend les gens systématiquement malades. Je répète, positif et malade ce n’est pas la même chose. On préfère dépenser de l’argent pour payer des vigiles qui vérifient vos données médicales (vous devez prouver que vous êtes en bonne santé pour aller vous faire soigner, du génie) plutôt que d’augmenter les salaires des soignants dont on se fout ouvertement de la gueule depuis des années.

Printemps 2022 : éradication des récalcitrants non spikés ? Ils l’ont bien cherché après tout. Il n’y a pas de fumée sans feu comme le dit si bien Hubert.

Quand je retrace le fil de ces évènements, je me dis que l’explosion des maladies mentales est en quelque sorte rassurante. Comment rester sain dans sa tête lorsque l’on est aspergés de mensonges et de messages de peur, de culpabilisation à longueur de journée depuis de trop nombreux mois ?

Promis chérie, c’est la dernière fois que je te trompais.

Le pass sanitaire ne saurait être prolongé au delà du 15 novembre.

Franchement, des gens qui mentent autant, vous leur faites toujours confiance ? Sachant qu’ils imposent d’accepter dans votre organisme un produit toujours en phase expérimentale, créé par une société condamnée à des milliards d’euros d’amende pour tromperie et escroquerie ?

Je ne cite pas de source et c’est volontaire. Ce que j’exprime est d’abord une opinion et ce sont justement les questions en suspens qui créent mon blocage actuel. Je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas. Alors si vous avez les études répondant à des questions posées ci-dessous, je serais heureuse de traduire leur résumé pour les non-anglophones et de vulgariser les notions complexes de biologie, puis de partager leur contenu.

L’initiation de mon doute

Je doute de tout, souvent. et surtout de moi-même. C’est fatiguant, mais parfois ça aide. Pendant le premier confinement je lisais des articles américains indiquant que la recherche était lancée pour les vaccins. Et que la stratégie retenue était « un ARNm qui va fabriquer via nos cellules une protéine du virus (la spike) qui va ensuite induire la fabrication d’anticorps ».

Les questions qui me sont venues à ce moment-là étaient les suivantes :

  • Pourquoi ne viser qu’un seul antigène alors que le virus risque de muter ? Si la mutation touche la protéine spike, tout est à recommencer non ?
  • Pourquoi la thérapie génique ? On est dans l’urgence d’une pandémie et on part dans un procédé totalement nouveau et jamais déployé à large échelle jusqu’ici, contrairement aux vaccins classiques. Cela va prendre beaucoup plus de temps d’étudier les risques pharmaco.
  • D’ailleurs, peut-on vraiment parler d’un vaccin dans ce cas ? Ce n’est pas le virus inactivé qui est inocculé…
  • Que sait-on des risques de mutation de cet ARNm artificiel ?
  • Le système immunitaire repose sur le principe de reconnaissance des molécules étrangères à l’organisme. Or cette protéine est fabriquée par nos cellules, elle reste reconnue comme étrangère si la fabrication d’anticorps fonctionne, mais elle n’en reste pas moins fabriquée par nos cellules. Ce n’est pas un peu schizophrène comme principe pour l’organisme ? Le risque de cancer n’augmentera t’il pas en injectant du matériel génétique ? Encore une fois, cela demande des années d’études pour le vérifier. On peut lancer la production de 9 bébés le même jour, ça n’en change pas moins qu’il faut 9 mois pour les voir naître et des années pour se développer.
  • Pourquoi ne se concentrer que sur la stratégie des vaccins, quid des traitements ?

A ce stade là, je ne me posais même pas encore la question de la potentielle toxicité de la protéine codée. Parce qu’il allait de soi pour moi que cela serait évident qu’elle serait testée, mais aujourd’hui j’en doute. A t’on la preuve que in vivo la protéine spike n’altère pas les cellules humaines, à court, moyen et long terme ? Puisqu’elle est issue de nos cellules, n’est-elle pas capable de se lier à un récepteur cellulaire avant d’être reconnue par les anticorps ? Quid des effets sur la personne inoculée dans ce cas de figure ?

Désolée pour les questions techniques elle me viennent ainsi et j’écris d’abord cet article égoïstement pour soulager mes lourdeurs d’âme sans trop faire d’effort de vulgarisation. Si cela en intéresse certains je pourrais partager un schéma qui explique mieux ces questions, j’ai promis à une amie qui souhaite comprendre comment cette biologie fonctionne de le dessiner.

Vive les vaccins

Un vaccin c’est merveilleux. Une fois la technologie maîtrisée et sécurisée après des décennies d’études, on est en mesure d’éradiquer des maladies dangereuses et de n’en faire plus qu’un mauvais souvenir.

Mais c’est long à produire. Le temps est un impondérable de la recherche. Surtout lorsque l’on étudie le vivant. Il faut vérifier lorsque l’on produit un médicament que ce n’est pas nocif à court, moyen et long terme.

Les vaccins auront toujours des effets secondaires. Le but est qu’il y en ait le moins possible, et que ces effets ne soient pas graves. Au moindre effet secondaire grave, le protocole doit être revu. Le but est de respecter le principe de précaution quand on ne connaît pas les conséquences sur un individu en bonne santé.

Ici on a observé des morts, des handicaps à vie et des réactions graves, et pourtant on continue chez les personnes non à risque de développer les formes graves. Pourquoi ? J’avais appris à l’école qu’un traitement préventif ne doit pas être plus nocif que la maladie…

Ce qui était convenu au tout début

Protéger les plus fragiles. C’est fait. On a une solution, les personnes vulnérables qui craignent pour leur vie ont un traitement préventif qu’ils peuvent choisir prendre ou non. C’est la notion de liberté et de responsabilité qui me sont chères. Une personne ayant le cancer du poumon est libre de fumer ou non. Une personne à risque est libre de prévenir ce risque ou de le prendre. Je suis pour assumer les conséquences de ses choix, et qu’on laisse chacun se décider par lui-même.

Nous sommes en train de déployer des mesures absurdes face à ce qui est devenu une épidémie hivernale classique, mais dans un système de santé malade (en sous-effectif et près du burn-out généralisé). En gros on demande aux gens de présenter un pass pour vérifier qu’ils ne sont pas porteur de quelque chose d’aussi dangereux que la gastro. Et d’ajouter toujours plus de doses dans leur organisme d’une substance dont ont ne connaît pas les effets à long terme ou sur des populations spécifiques (c’est écrit noir sur blanc sur la notice du Vidal). Le pire, c’est qu’on ose parler de liberté dans ce contexte. Quand on a un certain âge, ça fait sens de prendre le risque, les effets à long terme importent moins et le virus pourrait leur faire plus de mal que l’injection. Quand on a encore quelques décennies à vivre, c’est peut-être un peu abusé de nous reprocher d’attendre les résultats définitifs des études, non ? Surtout quand les enquêtes pharmaco n’ont rien de rassurant pour les tranches d’âge non à risque.

Et le premier qui me répond qu’on n’a jamais eu autant de recul grâce à la quantité de personnes vaccinées, je lui en colle une. Parce qu’un enfant ou un adolescent il a des organes en plein développement. L’étude d’une substance inconnue dans son organisme impose que l’on suive sur des années ce développement pour s’assurer que si on déploie cette substance à large échelle, il n’y aura pas de maladies graves dans le futur.

Si vous échangez en off avec des soignants en hôpital, ils vous parleront peut-être de l’étrange poussée des AVC, myocardites et des maladies cardiaques en tout genre. Bien plus qu’en 2020. Surtout chez les sportifs. Mais pour l’instant nous n’avons pas de données chiffrées précises, juste des témoignages épars.

Stop à l’abonnement – Le risque d’overdose

Deux doses c’est déjà beaucoup. Trois semble faire de plus en plus de dégâts parmi mes connaissances ou leurs proches. Problèmes cardiaques, infections variées (ce qui me semble logique puisqu’en pleine circulation des maladies hivernales on ajoute un produit qui fatigue l’organisme en forçant le système immunitaire à travailler sur plusieurs fronts à la fois), perturbations du cycle menstruel, dégénérescences liées au système nerveux… Systématiquement dans les jours ou semaines qui suivent une injection.

A savoir que je n’avais pas observé ces symptômes chez ceux infectés par le virus, et qui ont donc aussi développé une immunité, de façon naturelle. Cela n’enlève en rien le fait qu’ils ont pris cher, surtout ceux atteints par les premiers variants, c’est important de le souligner aussi.

Plus que trois doses pour une maladie létale à moins de 1% c’est à mon sens suicidaire. Quel autre vaccin exige 4 doses annuelles ?

Si malgré tout vous décidez de poursuivre cet abonnement d’injection qui ne cessera jamais tant que vous l’acceptez : soyez attentifs à votre corps et écoutez tous ses signaux après chaque injection. Contactez un professionnel au moindre malaise.

L’overdose de ce produit m’inquiète beaucoup plus aujourd’hui que le virus. Surtout chez les jeunes de moins de 50 ans en bonne santé. Encore plus s’ils sont sportifs.

Les effets secondaires ne sont pas montrés à la télé, et pour l’instant on ne peut que observer autour de soi et éventuellement via des témoignages de réseaux sociaux. Ce qui n’est franchement pas super fiable et fait très théorie du bistrot. Il n’empêche que ce produit n’a pas tenu ses promesses alors que la population a été conciliante et a accepté de prendre un risque par solidarité. Faire 10 doses n’y changera rien sur la circulation du virus, mais peut impacter toute une vie. Ce virus mutera toujours et de plus en plus, et c’est normal. Il y aura hélas toujours des décès tout comme les autres maladies continuent d’ôter des vies. Voulons-nous vraiment faire le choix de poursuivre cette vie de contraintes ?

Peut-être est-il temps de revivre comme bon nous semble, sans craindre d’être le point de départ d’une hécatombe.

Au-delà du sanitaire, l’humain (et surtout, les enfants)

Je ne suis pas d’accord avec les vaccinés qui traitent les non-vaccinés de tous les noms, tout comme je ne suis pas d’accord avec les non-vaccinés qui traitent les vaccinés de la même façon. Chacun a pris sa décision en voulant bien faire dans les deux cas. Chacun l’a fait par amour de son entourage et les deux camps ont raison. Aujourd’hui on n’a pas les données pour savoir quel « camp » est réellement le « bon », et c’est pour cela qu’il est vital de ne pas se monter les uns contre les autres.

Pendant que l’on se fait la guerre selon ce que l’on a foutu ou pas dans notre sang, ceux qui nous prennent pour des pantins à cumuler les mesures absurdes qui n’ont rien à voir avec la protection de la santé continuent à déployer toujours plus de restrictions et d’atmosphère digne de 1984. Honnêtement, ils nous méprisent. S’ils s’intéressaient à notre santé, ils laisseraient les cancéreux accéder à leurs soins, les hôpitaux ouvriraient des lits au lieu d’en fermer, les travailleurs de la santé seraient respectés, et les enfants seraient libres de vivre leur vie sans aucune forme de culpabilisation. Sans masque.

Nous sommes à un tournant de l’humanité. Et c’est là que je lâche toute forme d’amertume pour laisser place à l’espoir. Nous avons le choix entre la peur (contrôle systématique du pass à vie, oppression de ceux qui ont une opinion divergente, mise en danger des enfants) et l’amour (désobéissance tranquille).

Le vrai choix n’est pas « dois-je me (re)faire vacciner ou non ? » mais « est-ce que j’accepte de vivre aux dépens d’un QR code actif ou non selon l’humeur d’une centaine de vieux types dans un hémicycle à 5h du matin ? »

Et maintenant, on fait quoi ?

Personne n’a à donner de consigne aux autres. Tout ce que l’on sait sur ce virus, c’est que l’on ne sait rien (enfin pas grand chose) et qu’il ne s’arrêtera pas. Tout comme les virus classiques ne s’arrêteront pas, il faut donc vivre avec. Cela ne m’inquiète pas du tout.

Après de longues réflexions sur les principes scientifiques mais aussi moraux, à date j’en suis là :

  • J’aime trop la science pour la priver d’un groupe témoin. Même si demain je deviens hors-la-loi je ne me piquerai pas, je choisis de rester une 0 dosée « quoi qu’il en coûte ». Nous ne sommes plus que 9 % dans ce cas, et conserver un groupe témoin est la base de toute expérience scientifique. Il faut garder un groupe témoin en France. Faire croire que 6 millions de personnes privées de vie sociale sont la source de tous les problèmes est un mensonge et cette accusation est très dangereuse, elle ostracise un groupe et ça peut très vite dériver. Atteindre par la force le 100 % de couverture d’inoculation est selon moi une logique totalitaire. Je ne sais pas encore quelles seront les sanctions : payer mes soins si je tombe malade ? Une amende ? La prison ? Des policiers qui viennent m’injecter de force ? Un confinement à vie ? J’assume. J’espère au fond de moi qu’une bonne âme prendra bien soin de mon nouveau-né qui arrive d’ici quelques jours si je venais à en être séparée. (Jamais je n’aurais cru écrire cette phrase un jour, passionnante époque !)
  • Tous les hivers les gestes barrières sont du bon sens : on se lave les mains, si on est malade on porte un masque, on évite les personnes fragiles, on aère nos lieux de vie, et on se repose. C’est une protection contre toutes les maladies infectieuses. C’est la base simple et logique, pas besoin d’aller plus loin.
  • Je pense que l’épidémie actuelle est une épidémie de tests et de propagande (et de mise sous tension des hôpitaux). Sans le matraquage médiatique et sans les tests des asymptomatiques, tout reviendrait à la normale. Les médecins seraient libres de prescrire ce qui leur semble juste, et il n’y aurait pas de surmortalité comme au printemps 2020.
  • L’isolement est plus mortel que ce virus.
  • Je réduis au maximum le port de la muselière. Il ne sert que lorsque l’on a des symptômes, sinon c’est simplement devenu une marque de soumission. Il suffit de regarder n’importe quelle émission ou réception d’élites pour s’en rendre compte. Les esclaves masqués, les maîtres non. S’il évitait les contaminations on l’aurait observé depuis le temps.
  • Privée de beaucoup d’activités, je ne me plains pas, j’assume. J’en déduis qu’il s’agit d’une période qui invite à se tourner vers la nature, la construction de projets autres que ciné, restau, spectacles.
  • Je refuse tranquillement les mesures immorales. Je suis pour la désobéissance tranquille, il n’y a rien à affronter, juste sa vie à vivre. La loi n’est pas toujours au service de la population. S’il y a des personnes prêtes à résister sans violence, qu’elles se préparent à cacher des enfants et des familles, qu’elles s’organisent pour vivre autrement (sans supermarché, sans argent, sans travail…). Je crois en l’humanité et la solidarité. Nous sommes aujourd’hui sous emprise, sous hypnose par des manipulateurs très intelligents qui ne veulent pas notre bien. A nous de nous aimer et de reprendre le contrôle de notre quotidien. Aucun politique ne viendra nous sauver. Je choisis donc de vivre ma vie sans amertume mais librement, sans accepter que l’autre dispose de mon corps sans mon consentement. Dois-je rappeler que ces produits sont toujours en phase expérimentale ? Une autorisation n’est pas une validation. C’est donc techniquement un crime de les imposer sous la contrainte.
  • Je suis trop addict aux écrans, j’essaye de soigner cela et de prendre de la distance.
  • Je me concentre sur le plus important : la famille, l’amour. Le reste n’est que matériel.
  • Je suis pour la liberté d’expression totale : qu’on laisse parler sans insulter ceux qui mentent et ceux qui disent vrai. Et que les faits soient juges (à condition de les exposer en toute transparence).
  • Après avoir lu tout ça, si vous me connaissez vous vous demandez peut-être si je n’ai pas été broyée moi aussi au rouleau compresseur des maladies mentales grandissantes et que je ne deviens pas complètement parano. C’est possible. Très clairement ma nature anxieuse s’est amplifiée, et pourtant je suis bien entourée. Tout le monde peut-être touché.
  • Paradoxalement, plus le temps passe et moins j’ai peur malgré les durcissements des mesures. J’ai foi en une société qui protège d’abord ses enfants, ensuite les autres. Tout est question de choix.
  • Que se passerait-il si un jour tout le monde effaçait son QR code et reprenait simplement sa vie ? Devons-nous tout accepter « parce que c’est la loi » ? Allez, pour le plaisir du point Godwin : il y a moins de 100 ans, la loi imposait des déportations. Protéger un être humain qui n’avait pas la bonne religion était illégal. Si on en arrive là, que feront les gens qui apprendront que leur voisin n’a pas fait sa 8e dose ? Protection ou dénonciation ?
  • Je suis curieuse de voir à quoi va ressembler 2022… En tout cas, moi, je ne vais rien attendre de l’état et simplement faire mon bout de chemin. Sans prendre la tête à quiconque sur ce qu’il choisit pour lui-même.

Mise à jour du 6/01/22

  • Bonne année ! J’écris ces lignes avec bébé dans mes bras. Bébé qui va rester dans le groupe témoin des allaitements hors injection. Je sors les crocs en cas de forcing pour qu’il en soit autrement.
  • Paradoxalement, j’ai de plus en plus espoir dans l’humain. Peu importe notre « statut vaccinal », il est plus que jamais important de ne pas se diviser. Les psychopathes qui votent en catimini des lois liberticides pour tout le monde méprisent tout le peuple. Ne croyez pas que parce que vous n’êtes pas dans la catégorie des non emmerdés vous serez tranquilles et libres à l’avenir. A la fin on sera tous privés de liberté si on accepte sans broncher ce qu’il se passe. La fausse opposition vacciné ou non n’est qu’un écran de fumée, une distraction. Car demain n’importe qui pourra être désactivé pour une autre raison (bilan carbone, critique d’un parti politique…). C’est un véritable crédit social qui se met en place, et si la désobéissance (sans violence car ils n’attendent que ça pour appliquer des lois martiales) ne se met pas en place massivement aujourd’hui, demain le point de non-retour sera franchi. Si tout le monde refuse de présenter son code-barre qui relègue au statut de paquet de céréales ils n’y pourront rien. Leur pouvoir est dans notre soumission. J’ai « prédit » il y a presque un an l’obligation vaccinale, j’ai la même intuition désagréable pour le pass à vie pour contrôler tout et n’importe quoi.
  • Va t’on être privé de droit de vote pour « refus de s’injecter un traitement en phase expérimentale » ? Je n’ai jamais vraiment cru à la notion de citoyenneté de toute façon. Les cours d’éducation civique m’ont toujours semblé creux, vide de sens. Je comprends mieux aujourd’hui pourquoi : depuis le début c’était du flan.
  • L’amour résout 99,99% des problèmes. Le chocolat se charge du reste.